pourquoi faut-il investir dans l’immobilier à Reims aujourd’hui?

Il y a plusieurs raisons pour lesquelles l’investissement immobilier à Reims peut être intéressant aujourd’hui :

  1. Un marché immobilier attractif : Reims est une ville dynamique et attractive, avec une forte demande pour les logements. Les prix de l’immobilier y sont encore abordables par rapport à d’autres villes de la région, ce qui peut offrir des opportunités d’investissement intéressantes.
  2. Une ville en plein développement : Reims est une ville en plein développement, avec de nombreux projets immobiliers en cours, notamment dans le domaine de l’immobilier d’entreprise. Cela peut offrir des opportunités d’investissement intéressantes pour les investisseurs cherchant à diversifier leur portefeuille.
  3. Une ville bien desservie : Reims est une ville bien desservie, avec un aéroport international et une gare TGV, qui la rendent facilement accessible depuis d’autres villes de France et d’Europe. Cela peut également attirer des investisseurs étrangers cherchant à investir dans l’immobilier en France.

En résumé, l’investissement immobilier à Reims peut être intéressant aujourd’hui en raison du marché immobilier attractif, de la ville en plein développement et de la bonne accessibilité . Toutefois, il est important de faire des recherches approfondies sur le marché immobilier local et de travailler avec des professionnels de l’immobilier pour identifier les opportunités d’investissement les plus prometteuses.

Le marché de Noel de Reims se tiendra du 26 Novembre au 29 décembre 2021

En avant les festivités de fin d’année!!! Retrouvons les chalets sur le Parvis de notre splendide #Cathédrale de #Reims ainsi que les #animations pour les plus petits #place du #Forum sans oublier la grande roue place d’#Erlon et son beau #Sapin , vous pourrez vous balader sur les promenades Jean Louis Schneiter où de nombreuses décorations lumineuses vous mèneront jusqu’à la porte Mars et sa bulle géante de 12 m de haut!

Division de lot et changement d’usage , Maître Gabriel NEU-JANICKI

Un changement d’usage d’un lot de copropriété non compatible avec le règlement de copropriété doit être autorisé en assemblée générale. Et en cas de division d’un lot de copropriété, seule la nouvelle répartition des charges doit être soumise à l’assemblée générale si le règlement de copropriété l’exige.

Pour mémoire, aux termes de l’article 8 de la loi du 10 juillet 1965, dans sa version applicable à la date de l’assignation du 23 mai 2014,

« Un règlement conventionnel de copropriété, incluant ou non l’état descriptif de division, détermine la destination des parties tant privatives que communes, ainsi que les conditions de leur jouissance ; il fixe également, sous réserve des dispositions de la présente loi, les règles relatives à l’administration des parties communes.

Le règlement de copropriété ne peut imposer aucune restriction aux droits des copropriétaires en dehors de celles qui seraient justifiées par la destination de l’immeuble, telle qu’elle est définie aux actes, par ses caractères ou sa situation »

De plus, aux termes de l’article 9 de la loi du 10 juillet 1965, dans sa version applicable à la date de l’assignation du 23 mai 2014, « Chaque copropriétaire dispose des parties privatives comprises dans son lot ; il use et jouit librement des parties privatives et des parties communes sous la condition de ne porter atteinte ni aux droits des autres copropriétaires ni à la destination de l’immeuble … » ;

Lorsqu’un copropriétaire entend changer l’affectation de ses parties privatives, il doit, indépendamment du respect des règles d’urbanisme, s’assurer que cette affectation est compatible avec les dispositions du règlement de copropriété, qu’elle ne porte pas atteinte à la destination de l’immeuble et qu’elle ne porte pas atteinte aux droits des autres copropriétaires.

En l’espèce, une SCI copropriétaire a réalisé des travaux en vue de changer l’usage de son lot, laboratoire de pâtisserie, en un local d’habitation.

Il convient de préciser qu’avant de procéder à la réalisation de ces travaux, la SCI avait sollicité une autorisation en assemblée générale des copropriétaires de changement d’usage de ce même lot, pour un usage d’habitation au lieu et place d’un usage commercial, et que cette demande lui avait été refusée.

Le syndicat des copropriétaires décide alors d’assigner la SCI en vue d’obtenir la restitution à sa destination initiale du lot objet des travaux. La société copropriétaire répond qu’une telle autorisation n’était pas exigée.

La Cour considère que même si la destination d’un lot « à usage d’habitation » est conforme à la destination de l’ensemble immobilier, il y a lieu de considérer que le changement de destination du lot à usage commercial, en un lot à usage d’habitation, n’est pas compatible avec les dispositions actuelles du règlement de copropriété, telles qu’elles sont définies dans la partie préliminaire du règlement de copropriété, et que cette destination du lot à usage de laboratoire pour pâtisserie ne peut pas être changée sans une modification du règlement de copropriété, nécessairement soumise à l’autorisation de l’assemblée générale des copropriétaires.

En d’autres termes, la Cour déboute la SCI rappelant que dès lors qu’un changement d’usage d’un lot n’est pas compatible avec le règlement de copropriété, il doit être autorisé par une décision prise en assemblée générale.

De plus elle considère que la stipulation d’un règlement de copropriété qui exige en cas de division d’un lot de soumettre la nouvelle répartition des charges à une décision de l’assemblée générale des copropriétaires ne signifie pas que la division du lot elle-même est soumise à cette autorisation.

Cour d’appel, Paris, Pôle 4, chambre 2, 24 Mars 2021 n°17/16372

Extrait du Journal de l’Agence

Maître Gabriel NEU-JANICKI

Crédit immobilier : des conseils pour emprunter malin

  • Publié par Olivier Marin du Figaro Immobilier
  • Le mercredi 16 juin 2021

Comment vont évoluer les taux, quelles sont les nouvelles exigences des banques, pourquoi le choix de l’assurance emprunteur est-il déterminant ?…Maël Bernier, porte-parole de Meilleurtaux livre ses analyses au Club Immo Figaro Immobilier.

Comment percevez-vous l’appétence pour l’immobilier ?

Nos expériences de confinement ont renforcé cette envie d’acquérir un bien, de devenir propriétaire que ce soit en résidence principale, en résidence secondaire voire même en investissement locatif. Au fil des mois, durant la crise, la notion de pierre valeur refuge, s’est encore plus accentuée. Dans ce contexte, des villes moyennes comme par exemple, Reims, Angers, Le Mans, Vendôme…attirent de nombreux parisiens qui préfèrent grâce au développement du télétravail, privilégier la qualité de vie, plutôt que de rester dans de petits appartements. Avec l’effet TGV qui réduit les distances et des prix de l’immobilier à moins de 3 000 euros par m2, il est légitime de se poser la question.

Côté crédit immobilier, avec un taux d’intérêt à 1, 07 % en moyenne, toutes durées confondues, un plancher a-t-il été atteint ?

Maël Bernier : Je pense que l’on est au plus bas. La fourchette moyenne de taux s’étend de 1 % à 1, 50 %, selon les durées et les profils. On descend sous la barre des 1 % et même jusqu’à 0, 60 % pour les excellents dossiers sur les durées courtes. Les taux n’ont jamais été aussi bas. Je pense que l’on va s’engager vers un phénomène de stabilité. Il est vrai qu’au tout début du mois de juin, quelques banques ont rehaussé leurs barèmes mais plus par volonté de désengorger l’accumulation de dossiers. Ce n’est pas un mouvement de fond. Il y a eu quelques hausses mais globalement, nous sommes sur une stabilisation de taux extrêmement bas.

Y-a-t-il des raisons objectives de remontée des taux d’ici la fin de l’année ?

Il faudra étudier à la loupe ce qui va se passer à la rentrée de septembre. C’est-à-dire la manière dont l’activité économique reprend. La situation de l’emploi est bien sûr vitale mais aussi les effets de la crise sanitaire, la campagne de vaccination…tous ces facteurs sont à prendre en compte. Il est vrai que la BCE (banque centrale européenne) veille à maintenir ces taux très bas parce qu’il faut relancer la consommation dans la zone euro. Donc, il n’y pas de menace réelle de hausse conséquente. Maintenant peut-être que les taux seront en septembre à 1, 20 %, ce qui restera tout de même attractif.  Il n’y a pas de raison de se précipiter. Aujourd’hui, l’important est de trouver son bien.

Qu’est-ce qui change du côté des banques ?

Elles doivent être plus vigilantes, plus attentives aux dossiers déposés, respecter des consignes très strictes qui émanent des hautes autorités financières.  On leur demande de ne pas prêter au-delà de 35 % d’endettement mais en incluant l’assurance emprunteur dans ce calcul. C’est important, car cette assurance peut être plus coûteuse que les intérêts d’emprunt. Les banques sont aussi vigilantes sur l’apport initial. Il faut compter entre 10 % et 20% de la valeur du bien. La banque ne prête pas au-delà de 100 %, sauf, très rares cas. La stabilité professionnelle est scrutée à la loupe. Aujourd’hui, plus de la moitié des demandeurs sont des primo-accédants. Il est vrai qu’en couple avec des contrats en CDD, l’accès au crédit est plus compliqué. L’apport personnel, le coup de pouce de parents peuvent aider.

Reims candidate pour être Capitale européenne de la Culture 2028 !

RÊVONS ENSEMBLE ! Avec cette candidature, Reims souhaite créer une dynamique enthousiaste et partagée autour d’un projet de ville.

 

 

Comme l’expérience de l’inscription UNESCO l’a démontré en son temps, s’engager dans une telle candidature nécessite de mobiliser des moyens humains et financiers, soutenir les échanges, développer les partenariats, mettre les personnes et les structures en réseaux pour bâtir un dossier solide ouvrant la voie à la sélection de Reims.

Au-delà du projet culturel, la candidature de Reims au titre de Capitale européenne de la Culture en 2028 est – et restera quelle que soit la décision de la Commission européenne – un projet fédérateur durable qui irriguera l’ensemble des politiques publiques et renforcera les liens existants entre les acteurs du territoire (structures culturelles, associatives, éducatives, habitants, entreprises, villes et communes voisines etc.).

Avant tout chose, avec cette candidature au titre de Capitale européenne de la Culture en 2028, le territoire ambitionne de :

  • Construire des ponts entre les habitants, les acteurs culturels, économiques et sociaux du territoire ;
  • Renforcer les liens de solidarité et l’humain dans la ville : compte tenu de l’ampleur du projet nous ne pouvons réussir qu’ensemble ;
  • Transformer le regard des habitants sur leur ville et leur région : Rémoises et Rémois deviendront les meilleurs ambassadeurs de la candidature ;
  • Écrire ensemble l’identité et le futur de la ville : le dossier de candidature contera un récit territorial partagé et mettra en valeur les ambitions des habitants pour leur ville. Ces projets explicitement formulés seront plus facilement et plus rapidement atteignables grâce à cette labellisation européenne et à l’intérêt économique, touristique et médiatique dont bénéficie un tel événement ;
  • Renforcer son attractivité, son rayonnement national et international auprès d’investisseurs français et étrangers, d’entreprises, de futurs habitants etc. ;
  • Contribuer à écrire une nouvelle histoire de l’Europe à travers notre exemple, notre projet, les habitants de notre territoire.

Mairie de Reims.

Le marché Saint-Remi de retour place Museux, dans un écrin architectural métamorphosé !

C’est définitif. Le marché Saint-Remi se tiendra désormais le mardi, chaque semaine, place Museux, de 7 h à 13 h. Dans le contexte sanitaire actuel, seuls les commerçants vendant des produits alimentaires, plantes, fleurs seront présents, comme sur les autres marchés couverts et de plein air organisés à Reims.

En configuration complète, environ 25 commerçants non sédentaires pourront exercer et se déploieront place Museux et rue Saint-Maurice. Chaque mardi, le stationnement et la circulation seront interdits de 5 h à 15 h, sur la totalité de la rue Saint-Maurice, du n°137 au n° 169 des deux côtés de la rue du Barbâtre et du côté impair pour la totalité de la rue des Carmes.

En avril 2013, le marché Saint-Remi avait été délocalisé à proximité, rue Simon, pour laisser place à la base de vie des entreprises restaurant et aménageant le Collège des Jésuites en un campus pour Sciences Po, une opération de plus de 76 M€ conduite de mi 2013 à fin 2017, avec un cofinancement ville de Reims, Grand Reims, Département de la Marne, Région et un appui de la DRAC. Ensuite, après avoir recueilli l’avis des habitants, la ville de Reims et le Grand Reims ont métamorphosé ce pôle de vie du quartier Saint-Remi.

Une opération totalisant 3 466 000 € a permis de rénover la place Museux, également parvis d’un campus accueillant plusieurs centaines d’étudiants et accès au Fonds régional d’art contemporain de Champagne-Ardenne (fouilles archéologiques de mai à septembre 2019 suivies des travaux de requalification, jusqu’en avril 2021). Sans oublier la restauration des façades occidentale et Nord de l’église Saint-Maurice par la Ville, une opération de près de 1,15M€TTC, conduite de décembre 2016 à septembre 2017.

 

Mairie de Reims.

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